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En 2000, elle crée sa première compagnie, la Jazz New School Cie, d’un besoin d’exprimer l’évolution de la danse Jazz sous l’influence d’une culture Hip-Hop de plus en plus présente en France, suivie en 2003 de la compagnie  Les Muses,  expression logique de sa recherche et de sa maturité dans le domaine de la danse Orientale. En 2005, à travers la création du show Glam’Events, Linda Faoro explore les différentes facettes de la sensualité féminine par l’enchaînement de tableaux chorégraphiques aux stylistiques, aux énergies et aux couleurs musicales très variées. Les prémices d’une démarche identitaire et libératrice personnelle est déjà amorcée.

Son désir, en tant que femme et artiste chorégraphique, d’approfondir sa recherche autour de l’identité féminine au sein d’une société imposant des codes sociaux à son goût restrictifs, se concrétise par la création en 2008 de la Cie L’Espèce Urbaine  et de son seule en scène : « Ma Maison ne ressemble pas à celle de ma Mère… ». Pendant 50 minutes, elle fait partager au public, entre danse et théâtre, son évolution de femme à travers une écriture artistique à l’image de sa vie. Mélangée. Décalée. A 35 ans, Linda Faoro se révèle libre et multiple.

Avec cette création, sur scène jusqu’en 2012 en France comme à l’étranger, Linda Faoro interprète également une version courte de 20 minutes en anglais « My House looks nothing like my Mother’s… » lors de sa tournée de 2 mois fin 2010 aux Etats-Unis.

La 1ère édition du Festival BellyFusions, en 2009 à Paris, marque indéniablement l’affirmation de l’écriture chorégraphique singulière de Linda Faoro résultant de ses nombreuses années de recherche dans  le domaine de la Fusion. Elle est alors littéralement propulsée sur la scène internationale et crée depuis des pièces qu’elle interprète en tant que soliste ou au sein de l’International Urban Bellydance Collective.

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